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Two orchestra pieces
CD musical

Two orchestra pieces

Autre(s) titre(s) :
Deux pièces d'orchestre : John, David [1998] pour orchestre et percussion solo / Rhapsody [2009] pour trois orchestres
Deux pièces d'orchestre : John, David [1998] pour orchestre et percussion solo / Rhapsody [2009] pour trois orchestres
Editeur :
New World Recording 2018
Résumé : Cet enregistrement est le tout premier consacré à la musique orchestrale de Christian Wolff. "John, David" présente dans sa deuxième partie un rôle de premier plan pour le percussionniste solo jouant un large éventail d'instrument dont le marimba, le glockenspiel, une variété de tambours, d'instruments en bois et en métal, l'exact choix laissé à l'interprète. "Rhapsody" utilise des instruments de l'orchestre occidental traditionnel sans percussion, divisés en trois ensembles distincts et réorganisés dans des combinaisons et des relations inhabituelles, à l'intérieur et entre les groupes
Contenu : John, David (for orchestra and solo percussion) : Robyn Schulkowsky (percussions) SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg, Direction : Lothar Zagrosek / Rhapsody (for 3 orchestras) : Ostravska banda, Chefs d'orchestres : Roland Kluttig, Peter Rundel et Petr Kotík
Description :
1 CD 1 brochure
Format :
Indice :
3.24
Autre(s) Note(s) :
Dans son essai sur Charles Ives (1990), Wolff fait remarquer qu'au milieu des années 1970, il a soudainement ressenti son propre travail comme une étrange sorte de mélange d'Ives et de Satie. Il se réfère à la "volonté d'Ives de puiser dans toutes les sources utiles", la tendance à inclure des versions modifiées de la musique populaire et des airs d'hymne est une caractéristique qu'ils ont en commun. La conjonction improbable d'Ives et de Satie peut fournir un indice des disparités dans ces pièces orchestrales : des sections qui rappellent la densité et la complexité d'Ives, la simplicité et la directivité de Satie, et la transparence de Webern, sont juxtaposées sans tout besoin de médiation ou d'expliquer comment ils sont connectés.
Dans son essai sur Charles Ives (1990), Wolff fait remarquer qu'au milieu des années 1970, il a soudainement ressenti son propre travail comme une étrange sorte de mélange d'Ives et de Satie. Il se réfère à la "volonté d'Ives de puiser dans toutes les sources utiles", la tendance à inclure des versions modifiées de la musique populaire et des airs d'hymne est une caractéristique qu'ils ont en commun. La conjonction improbable d'Ives et de Satie peut fournir un indice des disparités dans ces pièces orchestrales : des sections qui rappellent la densité et la complexité d'Ives, la simplicité et la directivité de Satie, et la transparence de Webern, sont juxtaposées sans tout besoin de médiation ou d'expliquer comment ils sont connectés.
Durée : 51 minutes
Durée : 51 minutes
Plus jeune membre de la New York School, Christian Wolff fait partie du groupe de compositeurs des années 50, aux côtés de John Cage et Morton Feldman, qui ont repensé l'écriture et la performance autour de la musique. À l'époque, Wolff s'intéresse au principe d'indétermination appliqué à la composition. Véritable pionnier, il écrit des partitions aléatoires avec l'utilisation de symboles, laissant libre cours à une interprétation radicale de la part du musicien. La performance en elle-même devient ainsi un acte social, son but n'est plus la simple reproduction mais bien une interprétation libérée de tous ses codes traditionnels. Son écriture prend une dimension politique lorsqu'il rencontre Frédéric Rzewski et Cornelius Cardew dans les années 60. Il a composé plus de 200 pièces et organise toujours des performances autour de ses nouvelles compositions.
Plus jeune membre de la New York School, Christian Wolff fait partie du groupe de compositeurs des années 50, aux côtés de John Cage et Morton Feldman, qui ont repensé l'écriture et la performance autour de la musique. À l'époque, Wolff s'intéresse au principe d'indétermination appliqué à la composition. Véritable pionnier, il écrit des partitions aléatoires avec l'utilisation de symboles, laissant libre cours à une interprétation radicale de la part du musicien. La performance en elle-même devient ainsi un acte social, son but n'est plus la simple reproduction mais bien une interprétation libérée de tous ses codes traditionnels. Son écriture prend une dimension politique lorsqu'il rencontre Frédéric Rzewski et Cornelius Cardew dans les années 60. Il a composé plus de 200 pièces et organise toujours des performances autour de ses nouvelles compositions.
Extraits musicaux
Extraits vidéos
Extrait du livre
Biographie
Table des matières

Exemplaires

Exemplaires : Two orchestra pieces
Titre Réserver Support Consultation Bibliothèque Secteur Localisation Cote Disponibilité
Two orchestra pieces CD musicalPrêt normalConservatoire à Rayonnement RégionalLibre accèsBibliothèque Conservatoire3.24 WOLEn rayon

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