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Piano Concerto N° 7 / Concerto irlandais / Sonate pour piano N° 4
CD musical

Piano Concerto N° 7 / Concerto irlandais / Sonate pour piano N° 4

Autre(s) titre(s) :
Piano Concerto pour piano N° 7 / Concerto irlandais / Sonate pour piano N° 4
Piano Concerto pour piano N° 7 / Concerto irlandais / Sonate pour piano N° 4
Editeur :
Naxos 2016
Résumé : La création du Concerto N° 7 à Paris le jour de Noël 1832 a réuni Chopin et Liszt. Ingénieusement structuré en deux mouvements, son Rondo final évoque la salle de bal et la Russie dans une série de contrastes constants. Le Concerto irlandais est une reprise du premier mouvement du Concerto pour piano N° 2 en la bémol majeur.
Contenu : Concerto No. 7 in C Minor, H. 58A (Allegro moderato, Rondo : Allegro moderato) / Concerto pour piano N° 2 en la bémol majeur, H. 31 (Allegro moderato (arrangement de Hans Priegnitz comme concerto irlandais) / Sonate pour piano N° 4 en si majeur, H. 17A (Modéré, Rondo : Modéré)
Description :
1 CD 1 livret
Format :
Auteur(s) :
Indice :
3.19
Autre(s) Note(s) :
Michel Rusquet : "S'il est permis d'oublier trois modestes oeuvres de chambre avec piano de Field (un quintette et deux divertissements), on se doit en revanche de citer ses sept concertos pour piano qui, en leur temps, connurent une grande popularité. S'ils appellent des comparaisons avec divers compositeurs de l'époque, tels Steibelt, Kalkbrenner et Hummel, ils annoncent parfois de façon frappante ceux de Chopin. Avec leur romantisme tempéré, leur écriture pianistique fluide et imaginative, ils opèrent la jonction entre le classicisme de Mozart et le premier Chopin, et en cela Field donne incontestablement la main à Hummel. On peut y voir avant tout une musique agréablement superficielle, dénuée le plus souvent du dramatisme et des contrastes qui font l'attrait des grands concertos. Les longueurs ne manquent pas, les développements sont souvent plus bavards que construits, et la virtuosité, avec ses ruissellements limpides, est généralement moins éloquente qu'ornementale. On peut néanmoins ne pas être insensible à cette musique qui marie parfois de façon particulièrement heureuse sentiment poétique et art pianistique".
Michel Rusquet : "S'il est permis d'oublier trois modestes oeuvres de chambre avec piano de Field (un quintette et deux divertissements), on se doit en revanche de citer ses sept concertos pour piano qui, en leur temps, connurent une grande popularité. S'ils appellent des comparaisons avec divers compositeurs de l'époque, tels Steibelt, Kalkbrenner et Hummel, ils annoncent parfois de façon frappante ceux de Chopin. Avec leur romantisme tempéré, leur écriture pianistique fluide et imaginative, ils opèrent la jonction entre le classicisme de Mozart et le premier Chopin, et en cela Field donne incontestablement la main à Hummel. On peut y voir avant tout une musique agréablement superficielle, dénuée le plus souvent du dramatisme et des contrastes qui font l'attrait des grands concertos. Les longueurs ne manquent pas, les développements sont souvent plus bavards que construits, et la virtuosité, avec ses ruissellements limpides, est généralement moins éloquente qu'ornementale. On peut néanmoins ne pas être insensible à cette musique qui marie parfois de façon particulièrement heureuse sentiment poétique et art pianistique".
Extraits musicaux
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Extrait du livre
Biographie
Table des matières

Exemplaires

Exemplaires : Piano Concerto N° 7 / Concerto irlandais / Sonate pour piano N° 4
Titre Réserver Support Consultation Bibliothèque Secteur Localisation Cote Disponibilité
Piano Concerto N° 7 / Concerto irlandais / Sonate pour piano N° 4 CD musicalPrêt normalConservatoire à Rayonnement RégionalLibre accèsBibliothèque Conservatoire3.19 FIEEn rayon

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